Il tire sur son clop'dans le dédain d'une flasque remuée, noue sa cravate, se coiffe et ajuste les cordes de l'instrument. Un chapeau de feutre gris à la déroute des hurle-vents exaspérés par des mitaines de pacotille.
Les raisons d'aimer plus éparses que les pluies Écossaises où ce seigle aux ergots de race polymorphe saigne des folies aux exubérances de Tamise.
Et les prismes de momifications prolifiques des caïmans.
Le clop' met le feu à l'éthanol éparse dans la gorge, simplement
Pour annihiler les symptômes de picotement atroces que laissent les litres sur le banquet immaculé et nu.
Et tu te régales du sucre pendu aux grappes de ses lèvres.
Qui brille aux parois de sourires aux blancheurs infirmières.
Galvanise ce poitrail repu de miasmes hédonistes et misanthropes de la partie.
Alors râle sur ce destin peu glorieux tandis que passe le monde et se juxtaposent vérité et sincérité.
Las d'embrasser un monde qui suinte
Lacrymal et accablé
Fourbu d'espérer trouver la beauté cachée
Au détour des grandes cérémonies prolifiques
Réservées aux énarques, mon hallebarde bien aiguisée...
Flapi d'embrasser les méfiances des plus douteux
Hydromel ou moleskine,
Dents jaunes et grises, muraille crématoire
Sourire coloré aux putréfactions olfactives
Noirceur de bas-fond cloisonné
Croque-mort, chapeau haut de forme
Et déforme la mort accroc
En embaumant des beaux mots
Les maquillant de clous .